Une surprise et des suites

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il y a 9 ans

Très jeune, j’avais commencé à me branler avec un objet dans le trou du cul et des épingles dans les fesses mais, une fois marié, je me suis, pendant plusieurs mois, limité à baiser ma femme, deux ou trois fois par jour, toujours en missionnaire ; je ne lui avais même jamais mis la bite en bouche.

Marie repartant travailler après le déjeuner, j’étais seul à la maison pendant une heure et j’ai bien vite repris mes habitudes. C’est ainsi qu’un jour, revenue sans que je l’ai entendue rentrer, Marie me découvrit à poil sur un fauteuil du salon, une jambe sur chaque accoudoir, en train de me branler avec dans le trou du cul un plug qu’elle ne connaissait pas, dix épingles dans chaque fesse et matant des photos porno étalées devant moi.

Cris, pleurs, la surprise avait été forte, la découverte brutale. Impossible pour moi de nier et j’ai dû tout raconter : la revue trouvée dans la chambre de mes parents où un couple baisait et se dilatait les sphincters en ayant des épingles dans les fesses ; le cahier trouvé au grenier où, pendant son service militaire, mon père avait recopié Les sept nuits de noce d’une mariée ; ma découverte de la masturbation et sa pratique quotidienne.

Ce fut long et difficile mais Marie est curieuse, elle voulut tout savoir et, pour me faire pardonner d’avoir agi en cachette j’ai dû, le soir même, recommencer devant elle, un peu honteux au début, mais bien vite heureux de pouvoir m’exhiber sans complexe dans les positions les plus osées. Cet événement marqua le début d’une grande variété dans nos rapports.

Nous avons installé un grand miroir à côté du lit de notre chambre, il en vit de bien belles ! Nous nous branlions l’un devant l’autre et mutuellement, je baisais Marie à la missionnaire et en levrette, jambes en l’air ou cul relevé, elle me suçait la bite, avalait le sperme, nous avons expérimenté toutes les positions du Kama Soutra, la plupart n’ayant d’ailleurs aucun intérêt. Elle me plantait beaucoup d’épingles dans les fesses, en acceptait peu dans les siennes, me fourrait dans le cul tout ce qui l’inspirait mais, pendant au moins deux ans, malgré mon insistance, refusait de se faire sodomiser. Jusqu’au jour où, revenant d’une soirée où nous avions dansé et un peu bu, elle me dit : « Fais-moi tout ce que tu veux », ce qui, en clair, signifiait : « Encule-moi » !

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